(Le Journal de Montréal) — Le confinement aurait aggravé les problèmes de santé mentale chez les étudiants aux cycles supérieurs, en particulier chez les femme.
C’est ce que révèlent les conclusions d’une étude dirigée par des chercheurs de l’Université McGill, de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Chicoutimi l’étude publiée dans la revue «Preventive Medicine Report», lundi.
Le confinement aurait profondément ébranlé l’équilibre travail-famille pour de nombreux étudiants aux cycles supérieurs, creusant les inégalités et aggravant les problèmes de santé mentale, ont signifié les chercheurs.
L’étude de McGill serait l’une des premières à porter sur les facteurs de stress selon le sexe et sur la conciliation travail-famille en période de pandémie. (…)