(Santé Log) — Les symptômes de ce que les gynécologues appellent aujourd’hui le syndrome génito-urinaire de la ménopause sont de mieux en mieux documentés.
En se combinant pour s’aggraver, avec des effets sévères sur l’équilibre émotionnel, la vie sexuelle, l’autonomie et la qualité de vie, ces symptômes contribuent également à expliquer ces nouvelles données : cette étude, présentée dans la revue Menopause de la North American Menopause Society (NAMS) confirme en effet une prévalence très élevée de la dépression pendant la transition de la ménopause.
Mais d’autres facteurs majeurs interviennent également dans ce risque si élevé de dépression : le fait d’être veuve ou séparé de son partenaire, la consommation excessive d’alcool, les antécédents éventuels de maladie mentale, l’utilisation continue de médicaments, les handicaps physiques …et nombre d’enfants.
C’est la conclusion de cette étude qui confirme non seulement la prévalence élevée de la dépression et ses principaux facteurs chez les femmes ménopausées, mais décrit également la relation avec l’anxiété et la peur de la mort. (…)