Un travailleur de la santé québécois sur 10 pourrait être atteint de la COVID longue

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La majorité des personnes qui disent avoir des symptômes persistants ont été infectées par le variant Omicron, soit à partir de janvier 2022. Photo: Pexels

 

« L’OMS a déclaré au printemps que l’urgence pandémique est terminée. Et il y a des gens qui pensent que la COVID-19 est partie et que la COVID longue n’existe pas », affirme le Dr Pavlos Bobos, l’un des nombreux chercheurs qui ont assisté au premier symposium canadien sur la COVID longue, à Montréal, mercredi et jeudi. Et pourtant, des milliers de Canadiens vivent encore avec des symptômes persistants.

Ce nombre de cas de COVID longue, soit lorsque les symptômes persistent plus de 12 semaines après l’infection initiale, continue d’augmenter au fur et à mesure que les gens sont réinfectés.

C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé la Dre Sara Carazo, une épidémiologiste de l’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ), qui a présenté les données préliminaires d’une vaste étude épidémiologique sur les impacts de la COVID longue sur les travailleurs de la santé au Québec. Plus de 23 000 d’entre eux ont été sondés cet été. (…)

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