McGill contribue à un nouveau test pour les cancers de l’ovaire et de l’utérus

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Les cancers de l’endomètre et de l’ovaire représentent la troisième cause la plus courante des décès attribuables au cancer chez les femmes en Amérique du Nord.
 
(Le Droit/ La Presse Canadienne) — Des chercheurs de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) et de l’université Johns Hopkins ont mis au point une «méthode sécuritaire et peu invasive» pour le dépistage précoce des cancers de l’ovaire et de l’endomètre.
 

Ce test – appelé PapSEEK – analyse de petites quantités de l’ADN des cellules cancéreuses provenant des échantillons prélevés dans le col de l’utérus, dans l’utérus et dans le sang lors du test Pap, et permet d’identifier alors les mutations génétiques courantes associées à ces cancers.

La coauteure principale de l’étude, la docteure Lucy Gilbert du CUSM, a expliqué par voie de communiqué qu’un cancer est plus facile à guérir s’il est dépisté à un stade précoce. Les cancers de l’ovaire et de l’utérus, poursuit-elle, sont généralement diagnostiqués à un stade avancé et «entraînent le décès de tellement de femmes et causent tellement de souffrance». (…)

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