La masculinité toxique, un obstacle à la santé mentale des hommes?

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Parmi ces facteurs de risque, on peut compter: la réticence à demander de l’aide, une mentalité hyper-masculine (ex : « que les garçons ne pleurent pas ». Photo: Pexels

 

(L’Association canadienne pour la santé mentale) — Le novembre 2020, l’Association canadienne pour la santé mentale – Filiale de Montréal a eu le privilège accueillir deux invités incroyables dans le cadre du webinaire « La santé mentale des hommes : si différente de celle des femmes ? » Nos invités étaient Pierre L’Heureux, Andragogue et membre de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec, ainsi que Jean Giroux-Gagnée, neuropsychologue et psychologue clinicien, et membre de l’Ordre des Psychologues du Québec.

Ensemble, nos invités ont pu répondre à plusieurs questions comme… Existe-t-il vraiment une différence de genre quand on parle de santé mentale ? Comment expliquons-nous ses différences ? Il y a-t-il des problématiques en santé mentale spécifiques aux hommes ? Comment est-ce que le genre affecte la demande d’aide ? En ce qui a trait à la santé mentale, nos invités experts de l’an passé ont nommé plusieurs comportements typiques de la clientèle masculine, qui illustrent comment la socialisation de genre peut être à la fois une cause de détresse psychologique et une inhibition à la demande d’aide. (…)

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