Cancer de l’ovaire: survivre à un tueur méconnu

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«Je prenais n’importe quel antiinflammatoire, antidouleur, tout ce que je pouvais trouver en vente libre en pharmacie. J’avais mal à en pleurer. Photo; Pexels

 

(Ralph Bonet Sanon/ Metro) — Une Montréalaise déterminée à se battre contre le cancer féminin le plus mortel au Canada espère sensibiliser plus de gens à l’importance de financer la recherche sur cette maladie.

Sylvie Léger, résidente de Pointe-aux-Trembles, raconte son histoire pour démontrer le caractère insidieux des symptômes courants du cancer de l’ovaire.

«Ballonnement, inconfort abdominal, difficulté à manger, changement des habitudes urinaires, je les ai tous eus pendant des années, dit-elle. Je ne m’en rendais pas compte. Le ballonnement, j’avais ça tout le temps, même après avoir mangé une petite assiette. Je me disais que je vieillissais.»

Sans vouloir rendre les autres femmes «hypocondriaques», Mme Léger les invite à être vigilantes et à ne pas hésiter à mentionner tout souci de santé à leur médecin. (…)

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