(Philippe Montereau/ Pourquoi Docteur?) — Dans cette très grande étude prospective, les taux les plus élevés de vitamine D sont associés à une réduction de 20% du risque de cancers.
La relation est retrouvée tant chez les hommes que les femmes et évolue en fonction des niveaux de vitamine D jusqu’à une limite maximale au-delà de laquelle son effet devient nul.
Cette étude est parue dans le British Medical Journal.
La vitamine D est une quasi-hormone synthétisée à partir d’un précurseur que l’on trouve dans l’alimentation et qui doit être activé sous l’influence des rayons ultra-violets. Une alimentation pauvre en précurseurs et une exposition au soleil modeste sont associées à des taux bas dans le corps. (…)