(Alexandra Bresson/ Santé Magazine) — Les chercheurs ont étudié les données de santé de 296 078 femmes âgées entre 16 et 55 ans sur une période allant de 200 et 2013, toutes sans aucun antécédent enregistré de dysménorrhée.
Ils ont recherché une association à long terme entre le risque de dysménorrhée et la qualité de l’air, en particulier l’exposition sur plusieurs années à différents types de polluants atmosphériques : l’oxyde d’azote, l’oxyde nitrique, le dioxyde d’azote, le monoxyde de carbone et les particules de moins de 2,5m de diamètre(PM2.5).
Les résultats ont montré que pendant la période d’étude (2000 à 2013), 4,2 % des femmes de l’échantillon étudié ont reçu un diagnostic de dysménorrhée pour la première fois. (…)