(Agence France-Presse) —Saura-t-on un jour détecter dans le cerveau des signes très précoces de Parkinson, pour freiner la maladie avant même qu’elle se développe? Des chercheurs pensent avoir fait un pas dans cette direction, selon une étude publiée jeudi.
Une détection la plus précoce possible est le principal enjeu des recherches sur cette maladie neurodégénérative, la deuxième en terme de fréquence derrière Alzheimer.
Car aujourd’hui, les traitements agissent sur les symptômes (tremblements, troubles moteurs, dérèglement du sommeil…) mais ne guérissent pas la maladie. Celle-ci débute des années avant l’apparition des premiers signes et donc avant le diagnostic.
Parkinson est marquée par la dégénérescence des neurones dopaminergiques, qui produisent la dopamine. Ce neurotransmetteur est essentiel pour contrôler les mouvements du corps. (…)