(Maria Ester Loddo/ France Culture) — Sur la base d’une alimentation sans produits transformés et de certaines pratiques sportives, le régime Paléolithique promet une vie plus proche de la nature. Peu d’études existent à propos de ce qui est dénoncé par plusieurs scientifiques, notamment pour son « image naïve, simpliste et irréelle ».
Très en vogue chez certaines célébrités, comme l’actrice Uma Thurman, le régime « Paléo » intrigue. Popularisé aux Etats-Unis ces dernières années, il est aussi arrivé en Europe. Ses adeptes cherchent un type d’alimentation sain, qui réduirait le risque de maladies chroniques et favoriserait la perte de poids. Ses critiques dénoncent le problème des carences, qui pourraient arriver avec l’élimination de certains aliments.
Les premières études sur l’alimentation Paléo remontent à 1975 avec Walter L. Voegtlin, un gastro-entérologue américain, et son livre : The Stone Age Diet : Based on In-depth Studies of Human Ecology and the Diet of Man (Le régime d’âge de pierre : Basé sur des études approfondies de l’écologie humaine et du régime de l’homme). (…)