(Jean-Benoit Legault/ La Presse canadienne) — Maintenir son niveau d’activité physique ou l’augmenter en milieu de vie, ou même plus tard, réduit le risque de mortalité, constate une vaste étude britannique publiée par The BMJ.
Un expert de l’Université d’Ottawa considère toutefois qu’il faut interpréter ces résultats avec prudence.
Les chercheurs de l’Université de Cambridge précisent que 46 % des décès attribués à la sédentarité pourraient être évités si la population participait chaque semaine à au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée ou élevée.
Il ne s’agit bien évidemment pas de la première étude à associer l’activité physique à une réduction du risque de décès, de maladie cardiovasculaire et de certains cancers. Cette fois, les chercheurs britanniques se sont plutôt intéressés à l’impact sur le risque de décès des fluctuations du niveau d’activité physique au fil du temps. (…)