(Camille Gaubert/ Sciences et Avenir) — Comment expliquer le comportement antisocial ?
Des chercheurs néo-zélandais avancent qu’il peut être caractérisé… par la configuration du cerveau. Leurs observations – faites sur moins de 700 personnes – pointent chez les individus concernés une matière grise plus mince et à la surface plus réduite.
Ces travaux, publiés dans le Lancet Psychiatry, ne constituent en aucun cas un outil prédictif censé dénicher des tendances « antisociales » chez quiconque. Notamment parce qu’il s’agit de constatations faites sur une moyenne de personnes, et qui ne peuvent pas être plaquée sur un seul individu.
Impossible non plus d’établir une causalité entre la dérive du comportement et celui de la physiologie du cerveau. (…)