Dépression saisonnière : trouver un second souffle lorsque l’hiver se prolonge

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Une autre solution est de s’imposer une routine quotidienne, faite de sport et de sorties régulières, une heure par jour. Photo: Pexels
 
(Mouaad El Yaakabi/ Radio-Canada) — Se lever du mauvais pied, être de mauvais poil, avoir le blues ou pire, le cafard ! Autant d’expressions qui fleurent bon l’hiver et qu’on est bien heureux de remiser au placard en même temps que ses affaires d’hiver à l’arrivée des beaux jours.
 
Il est vrai que le manque de lumière et de soleil, la pluviométrie importante ou les épisodes neigeux à répétition se répercutent sur notre santé mentale au quotidien.
 

C’est ce qu’on appelle une dépression saisonnière, et cela se traduit par une baisse de moral, de l’ennui, souvent accompagné d’un besoin de sommeil, explique la Dre Katherine Rouleau, médecin de famille à Toronto, à l’émission Y a pas deux matins pareils. D’autres manifestations peuvent s’y ajouter, comme le manque d’appétit ou au contraire l’hyperphagie.

La fluctuation entre embellies et tempêtes de neige sur une longue période joue également sur notre moral, et plus l’hiver se prolonge, plus on puise dans nos ressources. (…)

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