Santé mentale: refuser de l’aide pour éviter la stigmatisation

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Je dirai que la population immigrante africaine consulte très peu […] ils sont moins nombreux, ils sont rares en termes de fréquence.
 

(Gabriel Nikundana/ Radio-Canada) — Alors que la demande d’aide en matière de santé mentale ne cesse d’augmenter au pays depuis la pandémie, certains sont loin d’être prêts à solliciter un appui dans ce domaine, même s’ils sont en difficulté.

Congolais d’origine, Jacques Lehani Kagayo a perdu un enfant quatre mois seulement après son arrivée au Canada en 2014. Malgré le choc à l’époque, lui et son épouse n’ont accepté aucun soutien en matière de santé mentale que bon nombre d’organismes de Windsor leur proposaient.

On a dit non au service parce que pour nous, ce service de santé mentale, c’est comme si l’on perdait le mental et qu’on était considéré comme des fous, explique M. Kagayo. (…)

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