(Alain Labelle/ Radio-Canada) — Une approche ) permet de corriger des dysfonctionnements synaptiques dans le cerveau impliqués dans la perte de mémoire associée à la maladie d’Alzheimer, montre une étude préclinique réalisée par des scientifiques américains.
L’hérédité n’est pas uniquement transmise par les gènes. Certaines informations dites « épigénétiques », transmises par les parents à leur progéniture, contribuent à réguler l’expression de ces gènes hérités d’une génération à l’autre.
Ces mécanismes épigénétiques sont modulés par des facteurs environnementaux tels que l’alimentation ou le mode de vie. Ils jouent un rôle important dans l’apparition de la forme familiale de la maladie d’Alzheimer.
Dans leurs travaux, la chercheuse Zhen Yan et ses collègues de l’Université de New York à Buffalo ont étudié, chez la souris, les mutations génétiques associées à la forme héréditaire de la maladie, mais aussi des tissus cérébraux d’humains morts de l’alzheimer. (…)