(Marriane Depelteau/ Radio-Canada) — Le manque d’accessibilité aux services professionnels de traitement de l’endométriose se fait sentir dans le Nord de l’Ontario, comme ailleurs au pays.
Harmony Schultz, de Sudbury, a commencé à sentir des douleurs à l’adolescence, mais son diagnostic d’endométriose ne s’est pas fait jusqu’à ses trente ans.
Après trois opérations chirurgicales à Sudbury, elle doit se rendre à Toronto pour continuer sa guérison, qui n’a pas été totale à cause du manque de matériel dans le Nord.
Ça prend une procédure chirurgicale (laparoscopie) pour bien diagnostiquer l’endométriose. Les tests habituels ne suffisent pas
, dit-elle. (…)