(Agence France-Presse) — Si le réveil matinal est, pour vous, synonyme de torture, vous pouvez blâmer vos gènes, selon une étude publiée mardi dans la revue Nature Communication, qui en dénombre plus de 350 impliqués dans notre horloge biologique.
«Notre étude confirme que le fait d’être du matin ou du soir, est, au moins en partie, déterminé par des facteurs génétiques», explique à l’AFP Michael Weedon de l’Université d’Exeter, coauteur de l’étude.
Outre qu’elle déculpabilise les lève-tard, cette étude permet d’en savoir plus sur «les mécanismes qui régulent l’horloge biologique des gens», ajoute le chercheur. (…)