Les victimes de violences domestiques ont deux fois plus de risque de souffrir de maladie longue durée

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(Chloé Savellon/ Pourquoi docteur) — Les violences domestiques représentent un fléau mondial, qui touche une femme de la planète sur trois. En France, on estime qu’une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint. Les “survivantes” ont souvent des séquelles psychologiques très fortes et peuvent mettre du temps à se reconstruire après la violence qu’elles ont subie.

En juin dernier, une étude menée par l’université de Birmingham et publiée en juin 2019 montrait que les victimes de violences domestiques au Royaume-Uni étaient trois fois plus susceptibles de développer de graves maladies mentales.

Ce ne serait malheureusement pas la seule conséquence néfaste attribuée aux violences conjugales : une recherche réalisée par les universités anglaises de Birmingham et de Warwick parue dans le Journal of Interpersonal Violence montre que ces femmes ont deux fois plus de risque de développer une maladie à long-terme telles que la flbromyalgie ou le syndrome de fatigue chronique (SFC). (…)

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