(Jean-Benoit Legault/ Le Devoir) — La pratique très populaire du jeûne intermittent est associée à plusieurs troubles alimentaires chez les jeunes femmes, prévient une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Toronto.
Chez les jeunes hommes, la pratique se retrouve plutôt parmi ceux qui s’entraînent de manière démesurée.
Le jeûne intermittent consiste, comme son nom l’indique, à s’alimenter de manière intermittente, par exemple en jeûnant plusieurs heures par jour ou encore en ne s’alimentant qu’une journée sur deux. Les informations à ce sujet fourmillent en ligne.
Ses adeptes lui attribuent de multiples bienfaits pour la santé, mais les chercheurs torontois affirment être parmi les premiers à s’intéresser à ses dangers potentiels. (…)