Cancer du sein: L’autopalpation mammaire en 7 questions

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L’autopalpation sauve des vies. Bien connaître son corps permet de mieux repérer les éventuelles anomalies qui incitent à consulter un-e médecin. Photo: Pexels

 

(Laurène Ischi/ Femina) — Des gestes simples et une observation ciblée permettent de détecter, à la maison, des éventuels symptômes d’un stade précoce du cancer du sein. Parce que la lutte se poursuit tout au long d’Octobre rose et au-delà, on fait le point sur l’autoexamen mammaire avec deux gynécologues.

Malgré les progrès thérapeutiques, la Suisse reste un pays particulièrement touché par le cancer du sein. Une femme sur huit y sera confrontée au cours de sa vie selon les statistiques, ce qui en fait le cancer le plus fréquent chez les patientes. Si le taux de survie à 5 ans reste élevé (environ 85% des personnes diagnostiquées), 1400 femmes décèdent d’une forme de cette maladie chaque année. Ainsi, pour révéler le cancer à un stade précoce et augmenter les chances de rémission, un dépistage régulier est primordial.

Des mammographies de dépistage sont organisées dans les cantons romands pour les femmes entre 50 et 74 ans, puisque cette tranche d’âge est la plus touchée. Cependant, des personnes plus jeunes peuvent également être affectées, à l’image de Manon, diagnostiquée à l’âge de 24 ans et qui nous confie son parcours dans l’épisode spécial Octobre rose de notre podcast Tout va bien. (…)

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