Traiter l’obésité sans grossophobie

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Non, les personnes qui ont un surplus de poids ne manquent pas de volonté. Elles ont plutôt besoin d’information pertinente et de respect.

 

(Valerie Levée/ L’Actualité) — Plus d’un milliard de personnes sont atteintes d’obésité, a récemment déclaré l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cet état, défini par un indice de masse corporelle (IMC) supérieur ou égal à 30, concernait 27 % de la population canadienne en 2018, selon les données de Statistique Canada ; l’hypertension touchait 30 % de ce groupe et le diabète de type 2, 13 %. Chez les personnes plus minces, on parle plutôt de 10 % pour l’hypertension et de 3 % pour le diabète de type 2.

Entretien avec la Dre Julie St-Pierre, du Réseau d’action en santé cardiovasculaire (RASC), qui a annoncé le 5 avril dernier la création d’un «nouveau programme de formation interdisciplinaire pour les professionnels et étudiants de la santé impliqués dans la prévention et la prise en charge de l’obésité et des complications connexes», rendue possible grâce à un don de deux millions de dollars de la pharmaceutique Novo Nordisk. (…)

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