Manger du piment pourrait (entre autres) réduire les risques cardiovasculaires

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(Hélène Bour/ Santé Magazine) — Voilà qui devrait ravir les amateurs de piment, ou ceux qui essaient d’inclure cet aliment dans leur cuisine. Une méta-analyse préliminaire, qui sera bientôt présentée au congrès annuel de l’American Heart association, met en avant un risque réduit de décès par maladie cardiovasculaire ou par cancer chez les personnes consommant du piment rouge.

Des études antérieures avaient d’ores et déjà mis en avant les effets anti-inflammatoire, anti-oxydant et régulateur de la glycémie de la consommation de piments, du fait de leur richesse en capsaïcine, composant actif du piment qui lui donne son piquant.

Les chercheurs américains ont ici épluché les résultats de 4 729 études, menées à partir de cinq bases de données mondiales sur la santé (Ovid, Cochrane, Medline, Embase et Scopus).

Leur analyse finale a été entreprise sur quatre grandes études incluant la consommation de piments. En tout, les dossiers de santé et d’alimentation de 570 762 personnes vivant aux États-Unis, en Italie, en Chine et en Iran ont été utilisés pour comparer les effets d’une consommation régulière de piment rouge au fait d’en manger rarement ou jamais. (…)

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