(Marie-Claude Malboeuf/ La Presse) — Aucune maladie, aucun examen, aucune intoxication n’a pu expliquer leur comportement. Une jeune professionnelle – comme enrhumée – avait tenu des propos suicidaires sur Facebook et oublié pourquoi.
Un homme dans la vingtaine – légèrement fiévreux – s’était soudainement enfermé dans le mutisme. Un quinquagénaire avait entendu Dieu lui parler trois semaines après avoir attrapé la COVID-19.
Le coronavirus s’attaquerait-il au cerveau ? Un peu partout dans le monde, des scientifiques se passionnent pour la question, y compris à Montréal et à Québec. (…)