Contrairement à ce qu’annonçaient l’an dernier des biologistes américains, une équipe de scientifiques canadiens vient de conclure, grâce à une nouvelle analyse de l’évolution de la durée de vie des hommes ces 50 dernières années, que les humains n’avaient pas encore atteint leur longévité maximale, rapporte un article du magazine Nature.
«Il est très difficile d’imaginer la durée de vie des hommes dans un avenir lointain si une telle limite n’existe pas. Il y a trois cents ans, les humains avaient une vie très courte si on la compare à la nôtre. Si vous leur aviez dit que leurs descendants pourraient un jour vivre jusqu’à 100 ans, ils vous auraient ri au nez», résume Siegfried Hekimi de l’université McGill.
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