(Marine Corniou/ Québec Science) — Les chiens viennent s’ajouter à la liste des facteurs et habitudes qui augmentent l’espérance de vie, selon une étude suédoise publiée dans Scientific Reports.
La conclusion de l’étude n’est pas radicalement nouvelle, mais l’ampleur de l’échantillon est inédite et convaincante. L’équipe de l’université d’Uppsala s’est penchée sur les données de 3,4 millions de Suédois, âgés de 40 à 80 ans, pendant 12 ans. Parmi eux, 13% environ possédaient un chien.
Conclusion: le fait de posséder un compagnon à quatre pattes est associé à une réduction de la mortalité globale.
L’effet protecteur est d’autant plus marqué chez les personnes seules, chez qui on a observé une diminution de la mortalité de 33% et du risque de maladie cardiovasculaire de 11% par rapport aux célibataires n’ayant pas de chien. (…)