(Robin Tutenges/ Slate FR) — Plus le temps passe, plus l’on observe les ravages de la pollution atmosphérique sur le corps humain. Une récente étude, publiée dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, vient d’en montrer une nouvelle conséquence: les tout-petits dont les mères ont été exposées à des niveaux élevés de particules ultrafines (UFP) pendant la grossesse sont davantage susceptibles d’avoir de l’asthme, rapporte le Guardian.
Les chercheurs ont suivi près de 400 mères de la ville de Boston, aux États-Unis, durant leur grossesse, mais aussi quelque temps après la naissance de leur enfant. En parallèle, ils ont observé leur exposition aux particules ultrafines (UFP) qui sont rejetées, entre autres, par les trafics routiers et la combustion. (…)