(Fleur Brosseau/ Trust My Science) — Une récente étude britannique reliant l’âge des individus aux différents symptômes, plus ou moins durables et inhérents à la COVID-19, révèle que les femmes âgées de 50 à 60 ans seraient les plus exposées au risque de développer une forme longue de la maladie. Un risque qui s’accroît en cas de surpoids.
Dans le cadre de cette étude, dirigée par le Dr Claire Steves et le professeur Tim Spector du King’s College de Londres, les chercheurs ont examiné les données de plus de 4000 utilisateurs de l’application COVID Symptom Study. À noter que leur compte-rendu a été publié sous forme de préimpression et qu’il n’a pas encore été évalué par les pairs.
L’application COVID Symptom Study est le fruit d’une collaboration entre le King’s College, le Guy’s et le St Thomas’Hospital, et la société ZOE Global Ltd. Elle a été conçue pour suivre les différents symptômes de la population. Les utilisateurs doivent communiquer leur position géographique, quelques informations personnelles et signaler d’éventuelles maladies chroniques. Ils doivent en outre indiquer toute maladie ou tout symptôme qu’ils sont amenés à présenter et préciser s’ils ont effectué un test de dépistage. (…)