(Agence France-Presse) — La septicémie, ou sepsis, une infection très grave avec défaillance d’organes, est associée à un décès sur cinq dans le monde, soit deux fois plus qu’on ne le croyait auparavant, selon une étude publiée jeudi dans la revue médicale The Lancet.
L’infection des voies respiratoires basses (bronchites, bronchiolite, grippe, pneumonie…) est la cause sous-jacente la plus courante de ces décès, selon les chercheurs.
L’analyse estime à 48,9 millions de cas de sepsis dans le monde en 2017.
Elle évalue à 11 millions le nombre de décès, soit un décès sur cinq dans le monde.
Plus de 40 % de tous les nouveaux cas surviennent dans la petite enfance, chez les moins de cinq ans. (…)