Covid-19 et confinement : les clés pour qu’isolement ne rime pas avec solitude

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Maladies cardiaques, dépression, démence et espérance de vie plus courte sont des risques connus de la solitude subie et prolongée. Photo: Frédéric Cirou / Altopress / Photoalto / AFP

(Camille Gaubert/ Sciences et Avenir) — La solitude, le sentiment de mal vivre l’isolation sociale, peut augmenter le risque de mortalité de 29%. Pour en contrer les effets, optimisme et contacts sociaux virtuels sont la règle tant que durera le confinement imposé.

Pour minimiser les conséquences négatives du confinement, optimisme et contacts virtuels sont la clé, affirment les médecins et sociologues dans la revue Science. Car l’isolement social lorsqu’il est subi sur de longues périodes, peut influer négativement sur la santé mentale et cardiovasculaire.

La solitude augmente le risque de mortalité de 29%
L’influence de l’isolement social sur le risque de décès « est comparable à des facteurs de risque de mortalité bien établis tels que le tabagisme et la consommation d’alcool et dépasse l’influence d’autres facteurs de risque tels que l’inactivité physique et l’obésité », concluait une méta-analyse (analyse de multiples études portant sur le même sujet) de 2010. Au point d’augmenter le risque de mortalité de 29 %. (…)

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