(Agence France-Presse) — Le nom «COL17A1» fait davantage penser à un robot de la Guerre des étoiles qu’à une poétique fontaine de jouvence. Pourtant, cette protéine pourrait jouer un rôle clé contre le vieillissement de la peau, selon un mécanisme décrit mercredi par une étude.
Cette protéine encourage la compétition cellulaire, processus qui permet aux cellules les plus fortes de prendre le pas sur les plus faibles.
Or, l’âge et les rayons UV entraînent un épuisement de cette protéine dans l’organisme. Cela laisse le champ libre aux cellules les plus faibles pour se reproduire: la peau devient plus fine, plusfragile et plus longue à cicatriser.
L’étude publiée par la revue scientifique Nature a été réalisée sur des queues de souris, qui ont des caractéristiques communes avec la peau humaine. (…)