Avoir quelqu’un à l’écoute freinerait le déclin cognitif

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On ne se rend pas toujours compte de l’importance des interactions sociales positives pour la santé cérébrale. Photo: Pexels

 

(Helene Bour/ Santé Magazine) — Dans une nouvelle étude, publiée le 16 août dans le JAMA Network Open, des chercheurs mettent en avant les bienfaits d’avoir auprès de soi une personne sur qui l’on peut compter pour parler et se confier. Cette présence dans l’entourage serait associée à une plus grande résilience cognitive, c’est-à-dire une plus grande capacité du cerveau à fonctionner mieux que ce à quoi on pourrait s’attendre au vu de son âge.

“Nous considérons la résilience cognitive comme un tampon contre les effets du vieillissement cérébral et des maladies”, a commenté le Dr Joel Salinas, Professeur en neurologie à la NYU Grossman School of Medicine et premier auteur de l’étude, dans un communiqué.

“Cette étude vient s’ajouter aux preuves croissantes que les gens peuvent prendre des mesures, pour eux-mêmes ou pour les personnes qui leur sont chères, pour augmenter les chances de ralentir le vieillissement cognitif ou d’empêcher le développement de symptômes de la maladie d’Alzheimer, ce qui est le plus important étant donné que nous n’avons toujours pas de remède contre la maladie”, a-t-il ajouté. (…)

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